À l’approche de l’examen du projet de loi pour la protection des enfants à l’Assemblée nationale, les organisations représentatives restaient dubitatives.
Une étude publiée le 2 juillet 2021 met en lumière les violences subies par d’anciens enfants placés dans les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE). En famille d’accueil, ces violences sont surtout psychologiques et liées à un manque d’accompagnement des professionnels.
Le Conseil national paritaire du dialogue social, qui réunit les partenaires sociaux représentatifs, encourage les salariés du particulier employeur à la vaccination.
Départs en retraite, relations avec les parents, manque de reconnaissance : les causes de la baisse du nombre des assistantes maternelles sont multiples et diverses. Des responsables de RAM et des élus locaux se retroussent les manches pour y remédier.
Cette recommandation de bonne pratique publiée hier s’adresse à l’ensemble des professionnels de la protection de l’enfance afin d’harmoniser l’accompagnement lors de cette phase délicate, lorsqu’elle est possible.
Le recul du nombre d’assistantes maternelles se poursuit et l’offre d’accueil des enfants de moins de trois ans se réduit selon les dernières statistiques publiées le 9 juillet par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
Après trois jours de débat, et un rebondissement majeur s’agissant des jeunes majeurs, le projet de loi a été adopté à l’unanimité hier à l’Assemblée nationale.
Une étude de l’Ined publiée le 2 juillet met en lumière les différentes formes de violences subies par les enfants confiés à l’Aide sociale à l’enfance. Elle pointe les effets délétères du « huis-clos » en familles d’accueil mal accompagnées par les services.
Avant l’examen par l’Assemblée nationale du projet de loi sur la protection des enfants, plusieurs organisations représentatives dressent le bilan de la concertation menée avec le gouvernement.