Faible attractivité et vieillissement des professionnels engendrent dans au moins six pays européens une baisse de l’activité des assistantes maternelles.
Assistantes maternelles salariées par les communes, restes à charge équivalents entre accueil individuel et collectif : une étude comparative publiée par la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) permet de mieux situer les enjeux de la France sur le sujet.
La Commission européenne souhaite que 50 % des enfants de moins de trois ans soient accueillis au moins 25 heures par semaine dans des services d’accueils « abordables, accessibles et de qualité » d’ici 2030.
La Commission européenne a publié le 24 mars la première stratégie globale de l'Union européenne sur les droits de l'enfant et propose une garantie européenne pour l’enfance.
Le Fonds social européen (FSE), l’État et la Caisse nationale des allocations familiales ont signé le 10 juin 2020 une convention visant à promouvoir la profession et lutter contre la sous-activité.
Ces mauvais résultats sont liés au reste-à-charge plus important dans l’accueil individuel, et aux critères d’attributions des crèches donnant priorité aux couples bi-actifs.
Seuls 1 % des enfants lettons fréquentent une structure formelle d’accueil contre 86 % des enfants danois. Avec 40,6 % des enfants accueillis, la France se situe légèrement au-dessus de la moyenne européenne .