Si un accord vient d’être agréé dans le privé non lucratif, incluant les assistants familiaux employés par ce secteur, les professionnels employés par les départements et les assistantes maternelles de crèches familiales municipales sont toujours privés de revalorisation.
La fédération demande un « coup d’arrêt immédiat » à l’érosion du pouvoir d’achat et un plan pour l’attractivité des métiers de la protection de l’enfance.
Une série de décrets publiés fin avril encadre les conditions du versement de la revalorisation de 183 euros nets mensuels pour les travailleurs sociaux jusqu’ici exclus, mais les assistants familiaux ne sont pas concernés.