Le conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) a voté pour la sixième Convention d’objectifs et de gestion de la branche Famille avec l’État hier. Les documents communiqués ne mentionnent aucun engagement chiffré pour les assistantes maternelles.
Les précisions données hier par le gouvernement après l’annonce de ce report pour les particuliers employeurs et leurs salariés ne rassurent pas la profession.
La lutte contre les violences intrafamiliales, l’accompagnement des enfants porteurs de handicap et des jeunes majeurs seront également au cœur de la future stratégie de protection de l’enfance et de l’adolescence.
La signature de la prochaine Convention d’objectifs et de gestion (COG) 2018-2022 entre l’État et la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) se rapproche. Elle entérinera les priorités du gouvernement et de la branche famille en matière d’accueil de la petite enfance.
Le dernier baromètre d’accueil du jeune enfant publié le 19 juin 2018 par la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) analyse les choix de mode d’accueil par les parents et les facteurs d’orientation vers l’accueil individuel.
Afin de favoriser l’accueil chez les assistantes maternelles d’enfants dont les parents sont intérimaires, un partenariat a été signé samedi 23 juin entre sept Relais d’assistantes maternelles (RAM), le Fonds d’action sociale du travail temporaire (FASTT) et le Conseil départemental.
Dans son avis adopté le 13 juin, le Conseil économique social et environnemental (CESE) préconise de renforcer l’accompagnement des jeunes majeurs et le travail en partenariat des assistants familiaux.
A l’approche de l’annonce par le président Emmanuel Macron des mesures visant à lutter contre la pauvreté des enfants et des jeunes, le Haut conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) publie ses propositions pour l’accessibilité des modes d’accueil.