Après le coup d’arrêt des formations et les révélations sur la Fepem, le jeune syndicat dénonce un manque de transparence, l’intersyndicale annonce la création d’une commission éthique.
A l’approche de la sortie du livre-enquête de Victor Castanet sur les crèches privées, le SNPPE interpelle le premier ministre Michel Barnier sur « l’impact destructeur » des politiques publiques de la petite enfance.
Selon un jugement rendu le 24 mai, le tribunal judiciaire de Paris a déclaré la candidature du syndicat irrecevable en raison d’un défaut de présentation et d’approbation de ses derniers comptes financiers.
Après l’annonce par la Cnaf de la création de financement supplémentaire pour la rémunération des personnels de crèches, le CNAMCF et le SNPPE expriment leur déception.
La candidature du jeune syndicat professionnel à l’élection TPE 2024 a été déclarée recevable par la direction générale du travail dans plusieurs branches, dont celle des particuliers employeurs et emploi à domicile.
Quatre organisations représentatives du secteur, dont l’Ufnafaam et le SNPPE, se positionnent contre le projet du gouvernement visant à permettre aux RPE de s’occuper des contrats entre parents employeurs et assistantes maternelles.
Si le gouvernement ne prend pas rapidement des mesures pour l’accueil du jeune enfant, le collectif Pas de bébés à la consigne appellera à la mobilisation le 6 juin prochain.
Constatant la « souffrance » du secteur, confirmée par le rapport de l’IGAS, l’organisation veut permettre aux professionnels de se mobiliser davantage en limitant l’impact financier.