Les activités de plein air éveillent les sens des enfants et nourrissent leur curiosité. Pour les mener à bien, point n’est besoin d’une logistique ou d’investissements lourds, mais avant tout de faire confiance à leurs capacités et aux ressources apportées par la nature.
Alors que les crèches familiales peinent encore à s’inscrire à l’agenda politique, un groupe de travail informel et un réseau dans les Alpes-Maritimes se mobilisent pour la sauvegarde de ce mode d’accueil.
Selon une étude publiée aujourd’hui, près de 80% des premiers agréments n’autorisent l’accueil que d’un enfant et deux tiers des professionnels n’ont jamais été contrôlés.
Selon un décret du 28 juin, les professionnels de l’accueil à domicile devront demander et présenter une attestation d’honorabilité pour la demande et le renouvellement de l’agrément à l’horizon 2026.
Si un accord vient d’être agréé dans le privé non lucratif, incluant les assistants familiaux employés par ce secteur, les professionnels employés par les départements et les assistantes maternelles de crèches familiales municipales sont toujours privés de revalorisation.
Selon un projet de décret d’application de la loi du 7 février 2022 présenté jeudi au comité de filière petite enfance, un délai de six mois après la notification du retrait de l’agrément serait instauré.