Repairs 75, Cause Majeur ! et les Oubliés de la République, interpellent la première ministre Elisabeth Borne pour renforcer l’accompagnement des jeunes majeurs.
Alors que le secteur traverse une grave crise, questionnant les responsabilités des Départements et de l’État, l’épineux sujet de sa recentralisation n’est plus tabou.
Dans un dossier d’étude publié en juillet, trois chercheurs – Geneviève Cresson, François-Xavier Devetter et Julie Lazès – analysent l’évolution des conditions de travail et d’emploi des assistantes maternelles salariées du particulier-employeur.
A l’initiative de trois Relais Petite Enfance de la Communauté de communes Vallons de Haute Bretagne (VHBC), des ateliers Snoezelen sont proposés, depuis quelques mois, aux assistantes maternelles du territoire, ainsi qu’aux enfants qu’elles accompagnent et leurs familles.
Dans une étude publiée le 26 septembre, l’association de consommateurs étrille le pilotage des modes d’accueil par les pouvoirs publics et demande un « choc de simplification ».
Pour les élus locaux et les représentants du secteur, si le gouvernement n’aurait pas dû insérer le futur service public de la petite enfance dans un texte sur l’emploi, les parlementaires doivent trouver une solution pour sortir la petite enfance de la crise.
Un livret pratique, condensé de la nouvelle convention collective des particuliers employeurs et de l'emploi à domicile, est envoyé aux assistantes maternelles par la CSAFAM.
Une instruction ministérielle publiée le 20 septembre précise les modalités de ce renforcement, censé mieux couvrir le territoire en s’appuyant sur des établissements hospitaliers employant des assistants familiaux.
Par une très courte majorité, au cours de débats houleux, les députés ont rejeté hier l’article 10 du projet de loi « Pour le plein emploi » qui posait les fondations du Service public de la petite enfance.