Remis au secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance Adrien Taquet vendredi 30 août par la députée Brigitte Bourguignon, un rapport émet 40 recommandations pour soutenir les jeunes sortants de l’Aide sociale à l’enfance.
Le rapport du groupe du travail chargé de l’accueil familial, réalisé dans le cadre de la concertation sur la protection de l’enfance, a été publié le 25 juillet. Renforcement du statut, appui sur les proches de l’enfant placé, développement des dispositifs relais : le point sur les propositions.
Dans un rapport publié le 15 juillet et consacré à cette double problématique, la CNAPE invite au décloisonnement et à l’action pour mieux accompagner ces enfants particulièrement vulnérables.
Un rapport de l’IGAS et de l’IGEN rendu public le 19 juillet préconise de renforcer prévention universelle et prévention ciblée, en s’appuyant notamment sur les professionnels de l’accueil du jeune enfant.
Les sénateurs Nassimah Dindar et Xavier Iacovelli ont déposé une proposition de loi le 15 juillet qui prévoit l’obligation des contrats jeunes majeurs jusqu’à 21 ans, une simplification des actes usuels et la création d’une Agence de la protection de l’enfance.
Lors des Assises nationales de la Protection de l’enfance le 4 juillet 2019 à Marseille, le secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités Adrien Taquet a annoncé plusieurs mesures de son futur Pacte pour l’enfance prévu pour l’automne.
Le rapport de la mission d’information sur l’Aide sociale à l’enfance déposé hier à l’Assemblée nationale préconise de réviser le statut des assistants familiaux, de revaloriser et d’harmoniser leur rémunération.
Dans ses conclusions remises hier au gouvernement, le groupe de travail sur l’accueil familial invite à améliorer les conditions d’exercice, réviser le statut, promouvoir les différents types d’accueil familial et soutenir l’accueil par des tiers.
Très attendue par les jeunes majeurs, leurs représentants et les professionnels qui les accompagnent, le texte de la proposition de loi adopté en première lecture à l’Assemblée nationale le 7 mai provoque colère et incompréhension.