Dans la revue Informations sociales, chercheurs et experts explorent l’impact des politiques familiales sur la natalité : la question des modes d’accueil y apparait centrale.
Dans une étude publiée le 26 septembre, l’association de consommateurs étrille le pilotage des modes d’accueil par les pouvoirs publics et demande un « choc de simplification ».
Une comparaison de la gouvernance de la petite enfance entre la France et l’Allemagne pendant la crise sanitaire montre une centralisation accrue dans l’hexagone, à l’heure où certaines acteurs préconisent de renforcer le rôle des communes.
Le projet de loi de finance pour 2023 prévoit une hausse conséquente du crédit d'impôt accordé aux familles faisant garder leur enfant de moins de six ans par une assistante maternelle.
La Commission européenne souhaite que 50 % des enfants de moins de trois ans soient accueillis au moins 25 heures par semaine dans des services d’accueils « abordables, accessibles et de qualité » d’ici 2030.
Ces nouvelles instances sous l’égide du préfet sont censées organiser le pilotage local des modes d’accueil et des services de soutien à la parentalité.
Dans son discours de politique générale, la première ministre a repris cet élément de campagne d’Emmanuel Macron sans apporter aucun détail sur sa mise en œuvre.
Alors que le flou règne quant aux ambitions du gouvernement pour la petite enfance, les acteurs commencent à placer leurs pions pour la prochaine négociation entre l’État et la Cnaf, où les assistantes maternelles tentent de se faire entendre.
Après une attente inédite pour savoir qui aurait la compétence « petite enfance », plusieurs représentants craignent l’invisibilité au sein du ministère des solidarités.
Selon les décrets d’attribution des ministres qui ont été publiés aujourd’hui au Journal Officiel, Damien Abad est officiellement en charge de la famille et de la petite enfance